Justine Augier : une certaine idée du droit (Personne morale)
Jacques Rancière : « La libération ne vient pas de la connaissance de sa condition mais au contraire de la volonté de ne plus la connaître »
"Houris" de Kamel Daoud ou… écrire sa catabase
"Fugues" ou les aventures du premier roman
Claude Faber : « Le rôle du libraire est plus important pour le deuxième roman »
Marie Vingtras : « Les premiers romans semblent être une vraie passion française » (Les Âmes féroces)
Louise Bentkowski : « Si la parenté avait à voir avec l’invention, je voulais pouvoir revoir l’histoire inventée sur laquelle je reposais » (Constellucination)
Laure Gouraige : « Comme écrivaine, je m’inquiète d’être répétitive » (Le Livre que je n’ai pas écrit)
20 ans après « Kiffe kiffe demain » : entre Faïza Guène et son double littéraire Doria « ça bouge pas »
Célestin de Meeûs : « Mon roman peut se lire comme la rencontre de deux, voire d’une multitude de soliloques » (Mythologie du .12)
Laure Defiolles : « Le deuxième roman est tout simplement l’étape où l’on sait qu’un écrivain est capable (ou pas) de transformer l’essai »
Joy Majdalani : Ni victimes ni icônes (Jessica seule dans une chambre)
Etienne Kern : « Les perdants offrent un matériau romanesque privilégié parce qu’ils montrent l’image la plus juste de notre condition » (La Vie meilleure)
Premiers romans, deuxièmes romans
Hélène Giannecchini : Réinventer les liens de filiation pour « tenir ensemble » (Un désir démesuré d'amitié)
Laure Gauthier : « Quand on commence à écrire, tout dialogue : depuis les paysages qu’on traverse jusqu’aux films, aux rencontres » (Mélusine reloaded)
Amira Ghenim : Le goût amer de la domination des femmes (Le Désastre de la maison des notables)
Cracker l'époque : Edouard Morena (épisode 1)
Jennifer Tamas : « On peut situer la galanterie dans l’histoire des sexualités et comprendre la révolution culturelle » (Peut-on encore être galant ?)
Gwenaëlle Aubry : dépersonnaliser, dit-elle