Frédéric Boyer : Ecrire pour « démasquer l’impossibilité de notre situation face au mal » (Si petite)
Entretien avec Felicia Viti : écrire la vie quand on aime (La Fille verticale)
Rachel Cusk : « L’art est le pacte que concluent des individus refusant que la société ait le dernier mot » (Parade)
Shane Haddad : l’errance écorchée (Aimez Gil)
Juliette Rousseau : “Aujourd’hui je vois une double généalogie, genrée et rurale, dans ce rapport honteux et méfiant à l’écriture littéraire” (Péquenaude)
Julie Pagis : le consentement à l'autorité (Le Prophète rouge)
Eva Baltasar : en proie au désir (Mammouth)
Gaël Faye : Habiter l’entièreté de ses origines (Jacaranda)
Grégoire Bouillier : « #je-vois-ce-que-je-veux-et-j’en suis fier » (Le Syndrome de l’Orangerie)
Emmanuelle Lambert : “Plus qu'un droit à la critique, je crois que les écrivains ont un devoir de distance par rapport à la société” (Aucun Respect)
Du témoignage à la résistance (sur Isabelle Cohen et Sarah Kofman)
Lionel Ruffel : “La question c’était comment continuer à désirer écrire sans désirer jouer à l’Auteur avec un A majuscule ?” (Trois éveils)
Déborah Costes : Journal de la puterie (Reprendre corps)
Christine Montalbetti : Imaginer la vie des autres (La Terrasse)
Véronique Tadjo : L’origine de la violence (Je remercie la nuit)
Hélène Gaudy : “Mon livre est devenu une expérience vivante, qui ne cherche pas tant à approcher une vérité qu’à faire bouger les rôles que chacun tient en famille” (Archipels)
Abigail Assor : Qui est fou ? (La Nuit de David)
Shane Haddad : Un désarroi dans la voix (Aimez Gil)
Romane Lafore : Révélation d’une catho tradi (La Confession)
Faïza Guène : Kiffe kiffe hier ?