Shane Haddad : l’errance écorchée (Aimez Gil)
Juliette Rousseau : “Aujourd’hui je vois une double généalogie, genrée et rurale, dans ce rapport honteux et méfiant à l’écriture littéraire” (Péquenaude)
Eva Baltasar : en proie au désir (Mammouth)
Emmanuelle Lambert : “Plus qu'un droit à la critique, je crois que les écrivains ont un devoir de distance par rapport à la société” (Aucun Respect)
Déborah Costes : Journal de la puterie (Reprendre corps)
Christine Montalbetti : Imaginer la vie des autres (La Terrasse)
Véronique Tadjo : L’origine de la violence (Je remercie la nuit)
Hélène Gaudy : “Mon livre est devenu une expérience vivante, qui ne cherche pas tant à approcher une vérité qu’à faire bouger les rôles que chacun tient en famille” (Archipels)
Abigail Assor : Qui est fou ? (La Nuit de David)
Shane Haddad : Un désarroi dans la voix (Aimez Gil)
Romane Lafore : Révélation d’une catho tradi (La Confession)
Hélène Giannecchini : Réinventer les liens de filiation pour « tenir ensemble » (Un désir démesuré d'amitié)
Laure Gauthier : « Quand on commence à écrire, tout dialogue : depuis les paysages qu’on traverse jusqu’aux films, aux rencontres » (Mélusine reloaded)
Amira Ghenim : Le goût amer de la domination des femmes (Le Désastre de la maison des notables)
Jennifer Tamas : « On peut situer la galanterie dans l’histoire des sexualités et comprendre la révolution culturelle » (Peut-on encore être galant ?)
Lucie Taïeb : enquête dans les ruines hantées du capitalisme (La Mer intérieure)
Gwenaëlle Aubry : dépersonnaliser, dit-elle
Julia Deck : « Jusque-là, je m’étais refusée à utiliser le matériel autobiographique : un tel interdit, cela ressemblait à un désir refoulé » (Ann d’Angleterre)
Ananda Devi : « L’histoire commune de l’humanité nous éclaire et nous condamne » (La nuit s’ajoute à la nuit)
Eva Baltasar : voix sauvage, poétesse aguerrie (Mammouth)