Shane Haddad : l’errance écorchée (Aimez Gil)
Juliette Rousseau : “Aujourd’hui je vois une double généalogie, genrée et rurale, dans ce rapport honteux et méfiant à l’écriture littéraire” (Péquenaude)
Abigail Assor : Qui est fou ? (La Nuit de David)
Shane Haddad : Un désarroi dans la voix (Aimez Gil)
Romane Lafore : Révélation d’une catho tradi (La Confession)
Faïza Guène : Kiffe kiffe hier ?
"Fugues" ou les aventures du premier roman
Claude Faber : « Le rôle du libraire est plus important pour le deuxième roman »
Marie Vingtras : « Les premiers romans semblent être une vraie passion française » (Les Âmes féroces)
Louise Bentkowski : « Si la parenté avait à voir avec l’invention, je voulais pouvoir revoir l’histoire inventée sur laquelle je reposais » (Constellucination)
Laure Gouraige : « Comme écrivaine, je m’inquiète d’être répétitive » (Le Livre que je n’ai pas écrit)
20 ans après « Kiffe kiffe demain » : entre Faïza Guène et son double littéraire Doria « ça bouge pas »
Célestin de Meeûs : « Mon roman peut se lire comme la rencontre de deux, voire d’une multitude de soliloques » (Mythologie du .12)
Laure Defiolles : « Le deuxième roman est tout simplement l’étape où l’on sait qu’un écrivain est capable (ou pas) de transformer l’essai »
Joy Majdalani : Ni victimes ni icônes (Jessica seule dans une chambre)
Etienne Kern : « Les perdants offrent un matériau romanesque privilégié parce qu’ils montrent l’image la plus juste de notre condition » (La Vie meilleure)
Premiers romans, deuxièmes romans