Grégoire Bouillier : « #je-vois-ce-que-je-veux-et-j’en suis fier » (Le Syndrome de l’Orangerie)
Abigail Assor : Qui est fou ? (La Nuit de David)
Romane Lafore : Révélation d’une catho tradi (La Confession)
Joy Majdalani : Ni victimes ni icônes (Jessica seule dans une chambre)
Ananda Devi : « L’histoire commune de l’humanité nous éclaire et nous condamne » (La nuit s’ajoute à la nuit)
« Transfuges » en postcolonie et en colonie ?
Léa Veinstein : enquêtrice littéraire (J’irai chercher Kafka)
Cécile Vallée : « Les propositions de postes dans ce domaine se réduisaient comme peau de chagrin »
Véronique Ovaldé : Des nouvelles dans une nouvelle (À nos vies imparfaites)
Dahlia de la Cerda : Les sans voix se racontent (Chiennes de garde)
Maryse Condé : récit d’une fille de transfuges de classe (Le Cœur à rire et à pleurer, La Vie sans fards)
Laélia Véron et Karine Abiven : analyse sociostylistique et politique du récit de transfuge de classe (Trahir et venger)
Cécile Vallée : « Les théories littéraires ne sont pas suffisantes pour accéder à tous les enjeux d’une œuvre »
Mathieu Simonet : une invitation à s’engager pour le droit des nuages en cette 3e Journée internationale des nuages
Grégor Péan : Guerre froide et conquête spatiale (Le ciel t’attend)
Ananda Devi : le cri de l’île (Le jour des caméléons)
Christiane Chaulet Achour et l’œuvre d’Albert Camus : une longue histoire de lectures