Banquet du livre de Lagrasse 2024 : "Penser et regarder ailleurs" (3-9 août)
Portraits de vie : l’écriture photographique d’Annie Ernaux
Ridha Boulaâbi : Œuvres francophones et nouvel orientalisme postcolonial (Orientalism writes back)
Collateral sur la route des vacances...
L’identité dans la B.D. : De l’identité du héros au héros sans identité…
Boris Groys : L'Europe contemporaine : à la recherche de biotopes culturels
Qui a peur de Monique Wittig ?
Arielle Castellan : « Parce que oui, avec Wittig, c’est un autre imaginaire qui se dégage, infiniment poétique, infiniment … féminin sans l’être »
Ilana Eloit : « Si la phrase "les lesbiennes ne sont pas des femmes" inspire tant aujourd’hui, c’est parce que Wittig interroge l’articulation entre domination patriarcale et régime hétérosexuel»
L’Oreille musicale n°8 : Expérimentations électroniques
Catherine et les fantômes
Cracker l'époque : Louisa Yousfi (épisode 2)
Eléonore Lépinard : « Un des moteurs de l’écriture de Wittig est de retourner la violence patriarcale en faisant des femmes un sujet dans la langue »
Laëtitia Deleuze : « Avec 'L’Opoponax', j’ai été fascinée par l’écriture kinésique et cinématographique de Wittig »
Amina Damerdji : « L’écriture est pour moi un exercice d’empathie »
Floriane Comméléran : « Monique Wittig fait la guerre au langage avec le langage »
Elodie Pinel : « Avec Wittig, on parle pour ne pas frapper. On parle pour qu’on ne nous frappe plus »
Clément Kalsa et Julien Spanti : Une matrice pour « rejointer » le temps ? (Suture)
Emilie Notéris : « Il y a chez Wittig un appel à la constitution d’un imaginaire en prise directe avec le réel, susceptible de le faire vaciller »
Stéphanie Garzanti : « La langue française étant très genrée, elle apparaît comme restrictive. C’est un endroit où la littérature de Wittig élargit les perspectives »