Littérature Au Centre : « Cette année, avec « Littérature et images », notre festival entend restituer l’intensité et l’émotion du visible » (9e édition)
Jennifer Tamas : « Nous passions notre vie à lire des livres d’hommes et à nous pencher sur des théories fondées par des hommes »
Florent Coste : vivons-nous après la théorie ? (L’Ordinaire de la littérature)
Lecture en différé : « Point de côté » de Judith Godrèche
Cracker l'époque : Louise Chennevière (épisode 1)
Cécile Vallée : « Les théories littéraires ne sont pas suffisantes pour accéder à tous les enjeux d’une œuvre »
Jean-Marc Baud : « Si la théorie a besoin d’un feu de rébellion, c’est peut-être davantage pour des raisons stratégiques que de vitalité interne »
Vincent Berthelier : « La critique littéraire n’est plus la locomotive de la théorie »
Charles Coustille : « Globalement, j’ai fait preuve d’une certaine paresse théorique, assez propre à ma génération »
Jan Baetens : « Le va-et-vient entre théorie et pratique ne fonctionne qu’à condition de rejeter toute hiérarchie »
Autofiction, trauma et féminisme : Musée de soi-même, vocation et autofiction sonore (III)
Delphine Edy : « Je suis pour une « déterritorialisation » de la critique qui prenne en compte l’ensemble des enjeux »
Mathieu Simonet : une invitation à s’engager pour le droit des nuages en cette 3e Journée internationale des nuages
Cracker l'époque : Najat Vallaud-Belkacem (épisode 2)
Mathilde Roussigné : « Qui a besoin aujourd’hui de « la théorie » alors que partout, ça pense ? »
Alexis Weinberg : « Je conçois la théorie littéraire non pas comme un savoir clos et achevé, mais comme un aiguillon pour la pensée »
Lucrecia Martel : une clinique de la déprise (Zama)
Justine Huppe : « On a beaucoup à gagner à écouter des voix qui ont contrecarré, depuis des espaces dominés, les façons d’écrire la théorie »
Juliette Riedler : « Je devais sentir le caractère nécessaire (presque vital) de l’élaboration d’une théorie »
Jean Rolin : Des vivants et des morts (Les Papillons du bagne)