Trois extensions de la poésie (Jean-Christophe Bailly, Dominique Fourcade, Tanguy Viel)
Jean Rolin : Des vivants et des morts (Les Papillons du bagne)
Stéphanie Polack : se tenir à l’affût du cataclysme (Les Corps hostiles)
Diane Seuss : le sonnet comme outil de domestication de la mort (frank : sonnets)
Simon Johannin : « Écrire, avant d'avoir fait les expériences dont l'écriture doit découler, n'a pas de sens »
Max de Paz : Les collines pavées (La Manche)
Claire Fercak : « Je voulais creuser ce sentiment bancal que j’avais éprouvé : être comme une étrangère dans son pays d’origine enfin découvert »
Marielle Hubert : « Mon projet était de bâtir un roman sur ce à quoi peut ressembler l’amour mère-fille : impossible, déraisonnable et gigantesque »
Emma Doude Van Troostwijk : « Ce qui m’intéressait dans le burn-out, c'était cette sensation collective d’avoir brûlé notre monde jusqu’au bout»
Daniel Morvan : « Thrène des campagnes disparues » (Quitter la terre)
Didier da Silva : Un inéluctable figurant (Musique adorable : Chabrier malgré lui)
Marion Fayolle : Chronique d’une disparition (Du même bois)
Phœbe Hadjimarkos Clarke : « Tout dans 'Aliène', jusqu’au titre, est politique : je ne vois pas, dans ma propre vie, ce qui ne l’est pas »
Stéphanie Polack : « Dans le monde éditorial, ce qui décide de tout, ce sont les rencontres, les affects, et les intuitions »
Gaëlle Obiégly : « En réalité, le marché du livre m’indiffère. La vie d’un livre, en revanche, ça m’intéresse. »
Emma Marsantes : « Combien de temps faut-il pour pouvoir dire 'je' ? Et surtout : combien de décès ? »
Gaëlle Obiégly : Sauver le vivant, faire vibrer la matière (Sans valeur)
Pierre Astier : « Plus ouverte, moins injonctive, la rentrée d’hiver n’en est que plus surprenante. »